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LA RÉPLIQUE > SALAIRE MINIMUM: Pour en finir avec le «populisme ambiant»
Actualité ,Lutte à la pauvreté |
01 décembre 2016
RAPHAËL LANGEVIN – Chercheur associé à l’Institut de recherche et d’informations socio-économiques| LE DEVOIR
Photo: Jacques Nadeau Le Devoir
Dans Le Devoir du 8 novembre, les économistes Pierre Fortin et Marc Van Audenrode ont vertement critiqué les groupes favorables à une hausse du salaire minimum à 15 $ l’heure. Selon les auteurs, ils favoriseraient le « populisme ambiant » et s’apparenteraient à des « climatosceptiques » en remettant en cause les fondements scientifiques des conséquences négatives sur l’emploi prévus presque unanimement. Dans une autre lettre, celle-là publiée dans Le Soleil, le Conseil du patronat du Québec (CPQ) en remettait, affirmant qu’un salaire minimum à 15 $ l’heure engendrerait « des effets collatéraux plus négatifs que positifs ». Qu’en est-il réellement ? Plutôt que de se lancer dans une interminable guerre de chiffres, analysons froidement tous les paramètres : le salaire minimum, l’emploi, mais aussi la productivité.
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