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L’ITINÉRANCE EST TOUJOUR UN PROBLÈME DE PAUVRETÉ
Actualité ,Lutte à la pauvreté |
24 février 2017
PIERRE GAUDREAU / Coordonnateur du Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) – HUFFINGTON POST
Le 27 février 2014, le gouvernement du Québec se dotait d’un instrument majeur pour guider son action avec l’adoption de la Politique nationale de lutte contre l’itinérance. Trois ans plus tard, celle-ci a permis certains progrès, mais les moyens investis pour son déploiement font grandement défaut. Il manque de mordant à son action. Cela n’est pas sans conséquence…
À l’hiver 2016, le nombre de nuitées dans les refuges pour hommes avait augmenté de 10%. Cet hiver, le taux de fréquentation semble se stabiliser, mais différentes décisions du gouvernement font craindre un accroissement de l’itinérance. L’itinérance des femmes demeure sous-estimée, et le 16 janvier dernier la compilation faite par la Ville de Montréal indiquait un taux d’occupation des ressources d’hébergement d’urgence leur étant destinées de 101%.
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