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QUAND IL FAUT PARCOURIR DES KILOMÈTRES POUR FUIR LA VIOLENCE CONJUGALE
Actualité ,Violence conjugale |
25 novembre 2017
JOANE BÉRUBÉ – RADIO-CANADA.CA
Photo: Radio-canada
Les maisons d’hébergement pour femmes victimes de violence débordent. Au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie, des femmes doivent rouler plusieurs kilomètres pour trouver une ressource d’hébergement prête à les accueillir.
Il existe seulement trois maisons d’hébergement pour femmes victimes de violence de La Pocatière jusqu’aux Méchins. Cette réalité amène parfois les responsables de ces maisons à transférer les femmes en détresse loin de chez elle. C’est aussi le cas en Gaspésie même si on compte cinq maisons.
Les maisons sont ouvertes 24 heures par jour, sept jours sur sept, 365 jours par année. Les besoins sont de plus en plus importants et les ressources ne suffisent plus, clament les responsables de maisons d’hébergement.
Ainsi à Matane où la Gigogne accueille une cinquantaine de femmes ainsi que de trente à quarante enfants par année, il existe aussi la maison L’Entre-Temps. L’immeuble compte six logements pour de l’hébergement transitoire pour aider les femmes et les enfants victimes de violence domestique à rebâtir leur vie. Ces appartements sont tous occupés.
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