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UN ACTE DE SURVIE
Actualité ,Lutte à la pauvreté |
21 janvier 2018
MICKAËL BERGERON – VOIR
Le gouvernement a volontairement décidé d’appuyer certains préjugés et de leur donner du poids. Il y a les pauvres qui font vraiment pitié et il y a les pauvres qui ne font vraiment pas pitié.
Notons que le gouvernement veut «lutter» contre la pauvreté de la même manière qu’il souhaite lutter contre le racisme et la discrimination systémique, c’est-à-dire en misant sur l’employabilité. Qui sait, ce printemps aura-t-on peut-être, aussi, un plan d’employabilité pour lutter contre la pollution.
Se pensant courageux ou généreux, Philippe Couillard et François Blais ont pitié des bons pauvres et bonifieront les montants des prestataires «inaptes» au travail, rattrapant en fait un retard injuste. Sans aucun doute, ce n’est pas pour «profiter du système» que ces gens ne travaillent pas. Contrairement aux «autres» pauvres, on ne peut pas les culpabiliser de leur état.
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