Articles
TRAVAILLER AU SALAIRE MINIMUM, MAIS À QUEL PRIX?
Actualité ,Lutte à la pauvreté |
19 avril 2015
Dans cet excellent reportage de l’émission Désautels le dimanche, vous pourrez entendre des entrevues avec Mélanie Gauvin, de l’organisme Au bas de l’échelle, et Carole Yerochewsy du GIREPS, un partenariat de recherche sur lequel siège la FAFMRQ.
Pour certaines familles, s’offrir un petit luxe est chose rare et l’endettement, une préoccupation de tous les instants. Akli Aït Abdallah a recueilli les témoignages de femmes et d’hommes qui travaillent au salaire minimum, une situation qui rime souvent avec précarité et temps partiel.
La sociologue Carole Yerochewski rappelle que travailler au salaire minimum à temps plein ne suffit pas à atteindre le seuil de la pauvreté. Cette chercheuse au GIREPS estime que les hausses de ce taux de quelques sous chaque année ont peu d’effet, tant sur le niveau de vie des salariés que sur l’emploi. Elle rappelle que certaines entreprises ont fait le pari d’offrir plus à leurs employés et ont remporté leur mise.
Dossiers
- Violence-conjugale
- Pensions alimentaires pour enfants
- Médiation familiale
- Lutte à la pauvreté
- Familles recomposées
- Égalité femmes / hommes
- Aide juridique
- Conjoints de fait
- Accessibilité aux études
- Conciliation famille-travail-études
- Intervention précoce & PPP sociaux
- Action communautaire autonome
- Recherche participative et partenariats
Section privée
Veuillez vous identifier afin d'accéder aux sections privées.
Réseaux sociaux
Rejoignez-nous sur les réseaux sociaux.
Notre page Faceboook Notre compte Twitter