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LE DROIT DE LA FAMILLE CHANGE: LES FEMMES ENFIN MIEUX PROTÉGÉES?
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19 mai 2020
Catherine Dubé – CHÂTELAINE
Six ans après une séparation houleuse, Josiane en arrache encore. «À 36 ans, je dois emprunter de l’argent à ma mère», soupire cette résidante de la Montérégie, maman de trois enfants âgés de 10 à 15 ans. Afin de ne pas attiser le conflit avec son ex, Josiane témoigne sous un faux nom.
Au moment de sa rupture, cela faisait quelques années qu’elle avait quitté le marché du travail pour prendre soin des enfants. Une décision du couple. Le revenu de son conjoint était suffisant pour faire vivre la famille et permettre à celle-ci des vacances dans le Sud. C’est lui qui gérait les finances de la maisonnée. Et comme l’immense majorité des conjoints de fait, ils n’avaient pas signé de contrat de vie commune. Moins de 8 % des couples en union libre le font, selon une enquête de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) publiée en 2017. «Par amour ou par aveuglement, je lui faisais confiance», se remémore Josiane.
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